Arriver dans un autre pays est traumatisant pour des parents qui, souvent, sont confinés dans des camps, où l'emploi n'est pas une option. Même s'ils vivent dans des villes, selon les lois locales, les réfugiés urbains peuvent ne pas être autorisés à travailler. Dans les pays où les réfugiés peuvent travailler, les emplois sont rares ou bien d'énormes obstacles peuvent empêcher les réfugiés d'obtenir un emploi.
L'éducation fournit une ligne de vie pour l'avenir des réfugiés. Les cours pour adultes permettent aux réfugiés d'apprendre de nouveaux savoir-faire à appliquer à de nouveaux métiers. La scolarité traditionnelle permetaux enfants d'être des enfants parmi les enfants de leur âge, de reprendre une vie en quelque sorte normale dans une situation anormale. L'éducation permetaux enfants de grandir, d'avoir l'occasion de préparer un avenir satisfaisant, et de ne pas être piégés dans un camp ou un bidonville, sans espoir.
«Si vous n'êtes pas un réfugié, vous ne pouvez pas comprendre ce qu'on ressent. Voir des enfants qui peuvent aller à l'école c'est comme l'espoir qui revient, et le JRS nous donne cet espoir. Nous sommes si reconnaissants pour cela. Mes enfants ont …l'hémophilie, c'était difficile pour eux d'aller à l'école publique : l'école se plaignait tout le temps. Une école [les a mis à la porte]... Et donc, je suis allée au JRS en les implorant de m'aider.
«Parce que je suis une réfugiée, je n'ai pas de travail. Comment pourrais-je me permettre une école spéciale? [Le Service Jésuite des Réfugiés a entendu mon histoire et] mes enfants ont été acceptés, ils paient pour leur école. Je peux espérer que mes enfants auront un demain, que leur avenir sera devant eux. Ils peuvent aller à l'école comme les autres enfants. Sans cela ils resteraient à la maison à ne rien faire, ils vivraient sans espoir de nouveau, et cela me tuerait.
«Mes enfants sont de bons élèves, je suis contente. Comme [les autres élèves] ne savent pas qu'ils sont réfugiés, ils sot des élèves comme les autres. Donc je suis contente. Les écoles privées sont pour les riches, pas pour les réfugiés, mais mes enfants sont là. Je suis contente, merci au JRS.»
Joignez-vous à nous en réflexion
On that day, Jesus went out of the house and sat down by the sea.
Such large crowds gathered around him that he got into a boat and sat down, and the whole crowd stood along the shore. And he spoke to them at length in parables, saying:
"A sower went out to sow. And as he sowed, some seed fell on the path, and birds came and ate it up. Some fell on rocky ground, where it had little soil. It sprang up at once because the soil was not deep, and when the sun rose it was scorched, and it withered for lack of roots. Some seed fell among thorns, and the thorns grew up and choked it. But some seed fell on rich soil, and produced fruit, a hundred or sixty or thirtyfold. Whoever has ears ought to hear."
The disciples approached him and said, "Why do you speak to them in parables?”
He said to them in reply,
"Because knowledge of the mysteries of the kingdom of heaven has been granted to you, but to them it has not been granted. To anyone who has, more will be given…"